La Remise Enjouée est un atelier-chantier d’insertion qui utilise le jeu et le jouet comme support pour favoriser l’insertion professionnelle et le lien social tout en limitant son impact écologique. 12 postes en insertion sont en cours de création pour récolter, remettre en état et mettre en vente des jeux et jouets.
Chaque jouet collecté est trié : ceux non récupérables sont démontés pour favoriser leur recyclage, tandis que ceux en bon état sont restaurés et nettoyés avec des produits écologiques fabriqués sur place. Ces derniers sont ensuite revendus dans une « boutique ludique ». Pour créer du lien, la Remise Enjouée propose aussi des soirées jeux de sociétés et des ateliers sur-mesure à destination des entreprises, associations et collectivités.
Chaque salarié de l’atelier chantier d’insertion bénéficie d’un accompagnement socio-professionnel tout au long de son contrat, d’une ou plusieurs formations et d’au moins une période de stages en entreprise
Basée à Paris, Metishima, accompagne des personnes issues de la migration en situation de précarité sociale, culturelle, économique, éducative, sanitaire et environnementale. Son objectif : valoriser leurs compétences professionnelles et académiques pour favoriser leur insertion.
En s’appuyant sur son parcours personnel, Marie Doue Gossan, la fondatrice, souhaite, à son tour, accompagner les personnes venues d’ailleurs pour qu’elles exercent un métier en lien avec leurs compétences et aptitudes professionnelles.
Le mission de Metishima est double. Le premier concerne l’insertion professionnelle : via son programme d’accompagnement, Metishima identifie les compétences acquises par la personne dans son pays d’origine afin de lui permettre de construire un projet professionnel pérenne, en adéquation avec les besoins des entreprises locales. Le programme permet ainsi de préparer ses bénéficiaires à l’entrée sur le marché du travail, en leur (re)donnant confiance en eux et en faisant grandir leur ouverture socio-culturelle et leur connaissance du marché du travail.
Son second objectif concerne la sensibilisation des jeunes et moins jeunes aux enjeux de l’employabilité des personnes issues des migrations. L’association a ainsi déjà réalisé plusieurs actions au sein de collèges et lycées sur les sujets du multiculturalisme, de la diversité et des Droits Humains.
L’idée de Xavier Broussier et de l’équipe de La Pioche ? Inventer un service de voituriers solidaires dans la zone Eurasanté de Lille, qui rassemble le Centre Hospitalier Régional et de nombreuses entreprises. La capacité de stationnement de ce quartier peu accessible en transports en commun est nettement insuffisante et ne permet pas d’accueillir les milliers de soignants, professionnels et patients qui s’y rendent chaque jour dans de bonnes conditions.
Conventionnée Entreprise à But d’Emploi dans le cadre de la loi Territoires Zéro Chômeur de Longue Durée, La Pioche ambitionne de créer a minima 15 emplois en CDI. Les voituriers, qui étaient à l’origine des personnes en recherche d’emploi depuis plus d’un an, iront stationner les voitures des usagers dans des parkings peu utilisés situés à quelques kilomètres.
Afin de promouvoir les modes de transport doux, La Pioche et ses partenaires assureront également le gardiennage des deux-roues, la recharge des vélos et trottinettes électriques, ainsi que des services d’entretien et de réparation.
A l’origine de Z, un constat simple : alors que le secteur du digital fait face à une pénurie de talents, les jeunes, pourtant nés avec le numérique, sont particulièrement touchés par le chômage.
Z propose un parcours de formation au métier de développeur web à deux types de public : des personnes éloignées de l’emploi et des salariés en reconversion. Il est financé par des entreprises partenaires qui souhaitent aider leurs salariés dont le métier d’origine est menacé par la transformation numérique à se reconvertir. Ces entreprises partenaires prennent également en charge le cursus des personnes éloignées de l’emploi.
Après une phase de sélection, les « pépites », comme on les appelle chez Z, suivent un premier module de « savoir-être », pour regagner confiance en soi et (ré)-acquérir des compétences transversales. Elles poursuivent ensuite avec un parcours intensif « savoir-faire » de 12 semaines, qui leur permet de se former au métier de développeur web. Après leur embauche, les pépites sont accompagnées pendant 3 mois par un parrain.